Browse Results

Showing 701 through 725 of 3,448 results

Honorer la vérité, réconcilier pour l’avenir

by Commission de vérité et réconciliation du Canada

Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d'un bout à l'autre du pays. <P><P>Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d'avis qu'afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d'origine respective. <P> La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d'exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du quotidien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L'éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l'autonomie des pensionnats. La négligence à l'égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. <P> Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l'aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l'histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. <P> Honorer la vérité, réconcilier pour l'avenir résume les six volumes constituant le rapport final de la Commission. Il assimile les pensionnats à l'instrument d'un génocide culturel et indique, par le fait même, que ces pensionnats s'inscrivaient dans le cadre plus large de la politique colonialiste du gouvernement canadien à l'égard des peuples autochtones. <P> Le rapport établit de quelle façon le sous-financement chronique a mené à des conditions de vie malsaines et à des taux de mortalité bien plus élevés que ceux caractérisant le reste de la population canadienne d'âge scolaire. De plus, il indique clairement que le gouvernement avait été avisé des conséquences de ses politiques et que d'autres options lui avaient été proposées, options qu'il a choisi d'ignorer et qui auraient pourtant réduit le taux de mortalité au sein des pensionnats. Les perturbations que ces pensionnats ont causées aux élèves autochtones, à leur famille et aux collectivités sont encore palpables à ce jour. Elles se mesurent par la perte des langues et des liens familiaux dans les communautés autochtones, ainsi que par les écarts qui continuent de séparer les Autochtones et les non-Autochtones du Canada sur les plans de la santé, de l'éducation et de l'emploi. La réconciliation permettra de reconnaître que les pensionnats faisaient partie d'un ensemble plus large de politiques visant à priver les Autochtones de leurs terres, de leur culture, de leur vie spirituelle et de leurs propres gouvernements. Les quatre-vingt-quatorze appels à l'action de la Commission établissent des mesures concrètes à appliquer pour réparer la relation tourmentée qui unit les peuples autochtones à la Couronne, et pour établir des rapports harmonieux entre Autochtones et non-Autochtones.

Pensionnats du Canada: Rapport final de la Commission de vérité et réconciliation du Canada, Volume I

by Commission de vérité et réconciliation du Canada

Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du quotidien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : L’histoire, partie 1, des origines à 1939 replace le système de pensionnats du Canada dans le contexte historique des campagnes européennes visant à coloniser et à convertir les Autochtones du monde entier. Dans le Canada post-confédération, le gouvernement adopta ce qui devint une politique de génocide culturel : suppression des langues et des pratiques spirituelles, perturbation des économies traditionnelles et imposition de nouvelles formes de gouvernement. Les pensionnats devinrent rapidement un élément central de cette politique. Le dessein destructeur de ces établissements fut décuplé par un sous-financement chronique et par des conflits incessants entre le gouvernement fédéral et les sociétés missionnaires, qui avaient le mandat d’assurer le bon fonctionnement de ces pensionnats. En raison d’un manque de leadership et de ressources, ces institutions ne purent maîtriser la crise de la tuberculose qui sévit durant presque toute cette période. Alarmés par des taux de mortalité élevés, de nombreux parents autochtones refusèrent d’envoyer leurs enfants dans ces établissements, ce qui poussa le gouvernement à adopter des règlements coercitifs sur la fréquentation. Alors que le gouvernement imposait une réglementation de plus en plus sévère à l’égard des parents, il en faisait bien peu pour régir la discipline, l’alimentation, la prévention des incendies et la salubrité dans les pensionnats. Il présidait, à la fin de cette période, un groupe pancanadien de foyers d’incendie latents n’ayant aucun objectif clair en matière d’éducation et qui étaient économiquement dépendants du travail non rémunéré d’enfants sous-alimentés et bien souvent malades.

Pensionnats du Canada: Rapport final de la Commission de vérité et réconciliation du Canada, Volume I

by Commission de vérité et réconciliation du Canada

Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du quotidien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : L’histoire, partie 2, de 1939 à 2000 porte sur le système de pensionnats du Canada depuis la fin de la Grande Dépression jusqu’à la fermeture du tout dernier établissement, à la fin des années 1990. Ce volume montre que le sous-financement et les conditions de vie précaires caractérisant les premières années d’existence des pensionnats ont perduré alors même que la plupart des Canadiens jouissaient d’une période de prospérité et de croissance sans précédent. En raison d’un programme de financement des plus maigres, les repas servis dans les pensionnats de la fin des années 1950 étaient loin de satisfaire aux Règles alimentaires du Canada. La surpopulation, les mauvaises conditions sanitaires et le défaut de respecter les règles de sécurité incendie étaient des problèmes courants pendant cette période. Tandis que les autorités gouvernementales en étaient venues à considérer les pensionnats comme étant coûteux et inefficaces, les Églises, elles, étaient réticentes à autoriser leur fermeture. Ce n’est qu’à la fin des années 1960 que le gouvernement fédéral finit par livrer bataille aux autorités religieuses pour leur arracher le contrôle de ce système. Souhaitant confier l’éducation des Premières Nations aux provinces, le gouvernement se heurta à l’opposition des organismes autochtones, qui demandaient « la maîtrise indienne de l’éducation indienne ». Après l’occupation d’un pensionnat albertain par des parents, un bon nombre d’établissements résistants passa sous administration autochtone. Le processus de fermeture des pensionnats coïncida avec un nombre grandissant de condamnations d’anciens membres du personnel pour agression sexuelle contre des élèves. Ces procès ont révélé toute l’ampleur du camouflage des sévices sexuels qui ont été infligés dans ces institutions. D’anciens élèves, qui se sont nommés les Survivants, ont mis sur pied des organismes nationaux et régionaux et ont été, en grande partie, le fer de lance de la campagne qui a mené le gouvernement fédéral à présenter des excuses en 2008 aux anciens pensionnaires et à leurs familles.

Pensionnats du Canada: Rapport final de la Commission de vérité et réconciliation du Canada, Volume 2

by Commission de vérité et réconciliation du Canada

Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du quotidien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : L’expérience inuite et nordique démontre que les pensionnats ont revêtu un aspect unique dans le Nord. En 1950, on ne comptait que six pensionnats et un foyer au-delà du soixantième parallèle. Avant 1950, le gouvernement fédéral avait confié les pensionnats nordiques aux sociétés missionnaires qui menaient principalement leurs activités dans la vallée du Mackenzie et au Yukon. Ce n’est qu’au cours des années 1950 que les enfants inuits ont fréquenté les pensionnats en grand nombre. En raison de l’énorme distance qu’ils devaient franchir pour se rendre aux pensionnats, certains d’entre eux furent séparés de leurs parents pendant des années. La mise en place de petits foyers, comme on les appelait, et de pensionnats de jour au sein de plus d’une douzaine de collectivités inuites dans la région est de l’Arctique amena de nombreux parents inuits à s’établir dans ces collectivités durant toute l’année pour demeurer près de leurs enfants, contribuant ainsi à la transformation radicale de l’économie et du mode de vie inuits. Les institutions nordiques n’évoquent pas tous les mêmes souvenirs. Le personnel du Grandin College de Fort Smith et celui du Churchill Vocational Centre dans le nord du Manitoba ont été fréquemment cités pour leur rôle positif dans le développement et le soutien d’une nouvelle génération de dirigeants autochtones. Par contre, le legs de certains pensionnats, dont Grollier Hall d’Inuvik et Turquetil Hall d’Igluligaarjuk (bras Chesterfield), est bien plus sombre. Ces pensionnats ont été caractérisés par des régimes prolongés d’agressions sexuelles et de discipline stricte qui ont marqué pour la vie plusieurs générations d’enfants. Puisque les Autochtones forment une grande part de la population des territoires nordiques du Canada, l’impact que ces pensionnats ont eu a été fortement ressenti dans l’ensemble de la région. Et comme l’histoire de ces établissements est très récente, les répercussions intergénérationnelles et l’héritage de ceux-ci sont particulièrement intenses dans le Nord.

Pensionnats du Canada: Rapport final de la Commission de vérité et réconciliation du Canada, Volume 3

by Commission de vérité et réconciliation du Canada

Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du quotidien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : L’expérience métisse rend compte de la longueur et de la complexité de l’expérience des Métis dans les pensionnats du Canada. Celle-ci ne met pas seulement en cause le gouvernement fédéral et les autorités religieuses, mais aussi les administrations provinciales et territoriales. Les Églises souhaitant convertir autant d’enfants autochtones que possible, elles ne s’opposèrent pas à l’admission d’enfants métis. À Saint-Paul-des-Métis, en Alberta, les missionnaires catholiques romains fondèrent au début du XXe siècle un pensionnat sur mesure pour ces enfants, tandis que les anglicans établissaient des foyers pour ceux du Yukon dans les années 1920 et 1950. La politique du gouvernement fédéral sur l’éducation des enfants métis était constamment redéfinie. À certains moments, le gouvernement considérait que les Métis faisaient partie de « classes dangereuses » que les pensionnats allaient civiliser et assimiler. Cette vision a mené à divers moments à l’adoption de politiques permettant l’admission de ces enfants. Toutefois, sur le plan de la juridiction, le gouvernement fédéral croyait que la responsabilité d’éduquer et d’assimiler les Métis revenait aux gouvernements provinciaux et territoriaux. Lorsque cette vision avait cours, les agents des Indiens avaient souvent l’ordre de retirer les enfants métis des pensionnats. Comme les gouvernements provinciaux et territoriaux hésitaient à fournir des services à cette communauté, de nombreux parents métis souhaitant faire instruire leurs enfants dans une école n’avaient d’autre option que de tenter de les faire admettre dans un pensionnat. Lorsque les gouvernements provinciaux ont commencé à fournir davantage de services d’éducation aux élèves métis après la Deuxième Guerre mondiale, bon nombre de ces enfants vivaient dans des foyers ou des pensionnats dirigés ou financés par ces mêmes gouvernements. Il reste beaucoup à faire pour déterminer l’impact que ces établissements ont eu sur les enfants métis, leur famille et leurs communautés, et pour corriger la situation.

Pensionnats du Canada: Rapport final de la Commission de vérité et réconciliation du Canada, Volume 4

by Commission de vérité et réconciliation du Canada

Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du quotidien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : Enfants disparus et lieux de sépulture non marqués est représente le premier effort systématique visant à compiler et à analyser les décès survenus dans les pensionnats, ainsi qu’à reconnaître l’existence de cimetières d’élèves ainsi que les caractéristiques de ceux-ci, dans le contexte réglementaire du fonctionnement de ces établissements. Dans le cadre de ses travaux, la Commission de vérité et réconciliation du Canada a créé le Registre national des élèves décédés dans les pensionnats. En raison des lacunes dans les données disponibles, ce registre est loin d’être complet. On a répertorié 3 200 victimes des pensionnats, mais le nombre réel de décès serait vraisemblablement beaucoup plus élevé. L’analyse a aussi démontré que les taux de mortalité dans ces établissements étaient bien supérieurs à ceux caractérisant le reste de la population canadienne d’âge scolaire. L’incapacité à établir et à mettre en œuvre des normes adéquates en matière de soins, conjuguée à l’absence d’un financement adéquat de ces institutions, se sont soldées par des taux de mortalité indûment élevés. Les hauts fonctionnaires du gouvernement et les autorités religieuses savaient très bien que les soins de garde que fournissaient les pensionnats étaient inadéquats. Rares sont les enfants décédés dans ces institutions qui ont été rapatriés dans leur communauté d’origine. On les enterrait plutôt au pensionnat ou dans les cimetières avoisinants, administrés par les missionnaires. Lorsque ces établissements et les missions fermèrent leurs portes, ces lieux furent abandonnés. Dans bien des cas, les communautés autochtones, les Églises et le personnel de l’époque ont pris des mesures pour réhabiliter ces cimetières et pour commémorer les défunts qui y sont enterrés. Toutefois, la plupart de ces sites sont laissés à l’abandon et n’attendent qu’à être profanés. Face à ce manque d’intérêt, la CVR propose de mettre sur pied une stratégie nationale pour documenter, valoriser, commémorer et protéger les cimetières des pensionnats.

Pensionnats du Canada: Rapport final de la Commission de vérité et réconciliation du Canada, Volume 5

by Commission de vérité et réconciliation du Canada

Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du quotidien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : Les séquelles décrit ce que le Canada doit faire s’il veut surmonter les séquelles tragiques de l’existence des pensionnats et prendre la voie de la réconciliation avec les premiers peuples du pays. Pendant plus de 125 ans, les enfants autochtones ont souffert de mauvais traitements et de négligence dans des pensionnats dirigés par le gouvernement du Canada et les autorités religieuses. Arrachés à leur famille et leur communauté respective, ils ont été enfermés dans d’immenses établissements, un cadre effrayant où ils étaient déconnectés de leur culture et punis lorsqu’ils parlaient leur langue maternelle. Des maladies infectieuses ont coûté la vie à de nombreux élèves et ceux qui ont survécu l’ont fait dans des conditions pénibles et débilitantes. Dans la plupart des pensionnats du Canada, la compassion et l’éducation étaient des denrées rares. Bien que le Canada ait présenté des excuses officielles pour le système de pensionnats et dédommagé ses survivants, les séquelles dommageables de ces établissements sont encore perceptibles aujourd’hui. Ce volume porte sur l’ombre projetée par les pensionnats sur l’existence des Canadiens autochtones, plus susceptibles que le reste de la population canadienne de vivre dans la pauvreté, d’être en mauvaise santé et de mourir plus jeunes, plus susceptibles aussi de se faire retirer leurs enfants et de connaître la vie en prison. C’est aussi dans les pensionnats que résident les causes de la disparition de nombreuses langues autochtones et de l’érosion des traditions culturelles.

Pensionnats du Canada: Rapport final de la Commission de vérité et réconciliation du Canada, Volume 6

by Commission de vérité et réconciliation du Canada

Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du quotidien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : La réconciliation documente la complexité de la réconciliation en présentant les constatations tirées des témoignages des survivants des pensionnats et d’autres participants aux activités et aux audiences de la Commission. Pour de nombreux Autochtones, la réconciliation passe par l’apaisement des familles et des collectivités, et par la revitalisation des cultures, des langues, de la spiritualité, des lois et des systèmes de gouvernance. Pour les gouvernements, l’institution d’une relation respectueuse suppose le démantèlement d’une culture politique et bureaucratique séculaire s’appuyant, trop souvent, sur des notions d’assimilation dépassées. Quant aux Églises, un engagement à long terme envers la réconciliation passe par la réparation des actes dévastateurs commis dans les pensionnats, le respect de la spiritualité des Autochtones et le soutien à leur lutte pour obtenir justice et équité. Les écoles doivent enseigner l’histoire canadienne en favorisant le respect mutuel, l’empathie et le dialogue. Les jeunes doivent savoir ce qui s’est passé dans les pensionnats et connaître la riche histoire et les connaissances collectives des peuples autochtones. Ce volume fait aussi ressortir le rôle de la mémoire, de la société canadienne, du secteur privé et des organismes à but non lucratif certes, mais aussi des médias et de la communauté sportive, dans le processus de réconciliation. La Commission presse le Canada d’adopter la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones en vue de mener à bien la réconciliation. Victimes de violence et de discrimination, les peuples autochtones ont pourtant des droits conférés à chacun en plus des droits issus de traités, et ces derniers ont un rôle crucial à jouer dans la réconciliation. Tous les Canadiens doivent comprendre en quoi les approches traditionnelles de la résolution de conflits, la réparation des préjudices et la restauration des relations des Premières Nations, des Inuits et des Métis peuvent orienter le processus. Les appels à l’action de la Commission établissent des mesures concrètes à prendre pour que nos descendants puissent vivre ensemble dans la dignité, la paix et la prospérité, sur ces terres désormais communes.

Like Nobody's Business: An Insider's Guide to How US University Finances Really Work

by Andrew C. Comrie

How do university finances really work? From flagship public research universities to small, private liberal arts colleges, there are few aspects of these institutions associated with more confusion, myths or lack of understanding than how they fund themselves and function in the business of higher education. Using simple, approachable explanations supported by clear illustrations, this book takes the reader on an engaging and enlightening tour of how the money flows. How does the university really pay for itself? Why do tuition and fees rise so fast? Why do universities lose money on research? Do most donations go to athletics? Grounded in hard data, original analyses, and the practical experience of a seasoned administrator, this book provides refreshingly clear answers and comprehensive insights for anyone on or off campus who is interested in the business of the university: how it earns its money, how it spends it, and how it all works.

La maison en pain d'épices

by Jennifer Conner

Noël n'a pas été rempli de joyeux souvenirs depuis qu’Emilyn Owens a quitté sa petite ville de Berry Grove. Elle est rentrée chez elle pour rendre visite à sa soeur qui a repris la boulangerie-pâtisserie familiale, Sugar Street Treats. Thary Murray a parcouru le pays pour fuir les souvenirs tragiques de son passé. Il a accepté un emploi de courte durée à la boulangerie-pâtisserie et fait les meilleures pâtisseries qu'on n'ait jamais mangées. Quand la soeur d’Emilyn tombe malade, Thary et elle doivent travailler ensemble pour terminer un village en pain d’épices promis comme collecte de fonds destinés à un foyer pour enfants. Tandis qu’ils s’ouvrent l’un à l’autre sur leurs douleurs du passé, Cela les rapprochera-t-il pour les fêtes de fin d’année ? Un amour en perspective ?

L'amour arrive à la Saint Patrick

by Jennifer Conner Caroline Orliac

Deuxième livre de la série best-seller Le serre tête de Noël Zoé et ses meilleures amies font le pacte de porter un serre tête de Noël décoré de gui jusqu'à ce qu'un homme les embrasse. Ca fonctionne pour Kara et Zoé est la suivante. A présent c'est la Saint Patrick et Zoé rencontre le bel homme d'affaires irlandais, Carrick Kelly. Mais doit-elle prendre le risque de tomber amoureuse de quelqu'un qui pourrait être parti dans quelques jours ? D'autre part, elle pourrait perdre son travail si Carrick ne signe pas un contrat avec son agence de communication, mais celui-ci ne semble pas intéressé par les idées de son patron. Déchirée entre des sentiments de plus en plus forts pour Carrick et ses engagements professionnels, Zoé pourra-t-elle compter sur la chance du leprechaun irlandais pour l'aider à prendre la bonne décision ?

L'amour arrive à la Saint Valentin

by Jennifer Conner Caroline Orliac

A Noël, Kara Hayward fait un pacte avec des amies : elle portera un serre-tête orné de gui jusqu'à ce qu'un homme l'embrasse. Le problème, c'est qu'à présent c'est la Saint Valentin. Kara va-t-elle être obligée de porter le serre-tête de la honte le reste de l'année, ou va-t-elle trouver l'homme idéal au moment où elle s'y attend le moins ?

Le reiki du travailleur de lumière

by Connie Dohan & Punit Vasu

Travailleur léger reiki - puissant et simple. Le pouvoir de l'univers entre vos mains! REMERCIEMENTS Nous reconnaissons le Divin sans qui rien n'est (et avec qui tout est): le Tout-Puissant, Dieu, Celui qui ne nomme pas et celui qui est connu par mille noms.

Ce que dit le tonnerre

by Colonel John Conrad

Si l’on se fie à tous les principes de la guerre et à la logique militaire, le soutien logistique de la force opérationnelle Orion du Canada aurait dû s’écrouler en juillet 2006. Peu de pays posent un défi logistique aussi important que l’Afghanistan, et pourtant les soldats canadiens l’ont relevé avec brio, en 2006, dans ce dangereux théâtre international. Cette réussite représente un accomplissement militaire monumental. <p><p> Les opérations de combat du Canada couvraient le sud de l’Afghanistan en 2006, et c’est avec un mélange d’inquiétude et de flegme que les soldats de la logistique canadiens s’acharnaient à faire progresser le groupement tactique. Ce n’est qu’aujourd’hui que l’on s’aperçoit à quel point les opérations de logistique de la force opérationnelle Orion à Kandahar constituaient une tâche ardue, presque irréalisable. <p> L’auteur de ce livre présente du point de vue de la logistique et de façon sincère, parfois même crue, des incidents et des souvenirs de la guerre que le Canada a livrée. Il offre aussi au lecteur une vision éclairée de l’histoire de la logistique militaire au Canada et se penche, en tant que commandant de bataillon, sur l’érosion spectaculaire de ce qui était autrefois une des pierres angulaires de l’Armée de terre.

Entreprise Régénérative

by Conrad Goulet & Aline Piché Ethan Roland Gregory Landua

Générer du profit par l’extraction de richesses vivantes et fondamentales à la vie telles que nos terres et nos eaux n'est plus acceptable. Les entreprises ont besoin d’un nouveau modèle pour interpréter notre monde, un nouveau processus de conception holistique et de prise de décisions. Les 8 formes de capitaux sont ce modèle. En développant les multiples formes de capitaux avec lesquelles nous transigeons à chaque jour, nous ouvrons la porte vers une approche évolutionnaire de l’économie et des profits. Entreprises régénératives précise la différence entre les systèmes dégénératifs, soutenables ainsi que régénératifs, articule les quatre facteurs d’une entreprise régénérative et dévoile les principes de conception d’une écologie d’entreprises régénératives. L’Institut d’Entreprise Régénérative offre aussi du mentorat et des services de consultation aux entreprises et corporations qui veulent faire le saut vers la régénération.

The Life-Writer

by David Constantine

After the death of her beloved husband, Katrin, a literary biographer, copes with the loss by writing his personal history. While researching the letters and journals he left behind, however, she comes to the devastating conclusion that his life before their marriage was far richer than the one they shared. To understand and recreate the period of his greatest happiness--a period of intense friendship and love in the fall and winter of 1968, with a young French woman named Monique--Katrin embarks on a heartbreaking journey to discover the man she never fully knew.

La Magie du Quartz Rose: Jeter de simples sorts avec une seule pierre

by Cynthia Conway

Le guide parfait pour débutants : la magie des cristaux en wicca et sorcellerie La magie vous attire mais la complexité des sorts et le nombre d’ingrédients nécessaires vous découragent? Voulez-vous utiliser la magie pour améliorer votre vie, trouver l’amour ou vous épanouir? Alors, la magie du quartz rose est faite pour vous. La magie du quartz rose repose sur de simples sorts à la portée de tous les débutants en wicca et sorcellerie. Chaque sort utilise un seul cristal de quartz rose – un outil puissant qu’on associe aux charmes liés à l’amour, aux peines de cœur, aux ruptures, à la beauté, etc. Grâce à cette pierre peu coûteuse et ce livre de sorcellerie, vous réaliserez de simples sorts qui embelliront votre quotidien. Les sortilèges contenus dans ce manuel sont efficaces et n’exigent aucun rituel compliqué, phase lunaire obligatoire ou élément particulier qui pourraient décourager bon nombre de débutants. Vous y trouverez également des conseils concernant le choix, la purification, la recharge et la préparation de votre quartz rose. Si vous souhaitiez débuter en magie, ce livre est le meilleur point de départ.

Devenir poussière

by J. S. Cook Julianne Nova

Durant l'hiver glacial de 1891, alors que la nation est encore sous le choc de la crise bancaire de Baring, l'inspecteur Philemon Raft revient d'un congé sabbatique involontaire, et se retrouve chargé de résoudre l'enlèvement de Miriam Dewberry, une jeune fille de bonne famille. Projeté dans un milieu sordide où les classes supérieures se livrent à des investissements honteux, de l'autre côté de l'océan, pour engraisser leur compte en banque, Raft se retrouve perdu sans son compagnon, le constable Freddie Crook. Loin d'offrir son aide, l'élite cherche à tout prix à empêcher Raft de découvrir la vérité au sujet de la malheureuse victime de cet enlèvement, Miriam Dewberry... qui n'existe peut-être même pas. Bientôt, Raft découvre que son vieil ennemi, le maître de l'hospice, John Gallant, est de retour à Londres. Gallant n'a pas avoué ses ambitions, mais il en sait assez pour ruiner la carrière de Raft, et peut-être même sa vie. Raft tente de résoudre cette affaire grâce à sa perspicacité habituelle et étrange, mais d'autres forces plus sombres sont à l'œuvre. Londres est encore terrifiée : c'est le Londres de Whitechapel, de Jack l'Éventreur, le Londres de la pauvreté, de la saleté et du désespoir, où s'engager dans la mauvaise allée pourrait envoyer Raft tout droit à la morgue.

Building Bridges: Case Studies in Collaborative Governance in Canada

by M Derek Cook M Tere Mahoney Robyn Dryden Gail Krantzberg M Mario Paris Mme Suzanne Gagnon Wanda Wuttunee Robert Bell John Noksana Jr. Anna J. Hart

The case studies contained in this book show real life examples of complex problems being addressed through collaboration. The problems confronting modern society are complex and do not lend themselves to simple solutions or linear decision making. They require the involvement of many stakeholders. This is often brought about by networks, which bring together a multitude of players in the search for solutions to public policy issues. This can be challenging, as differing viewpoints and personalities, and often conflicting interests need to be acknowledged and reconciled. Yet without the involvement of all interested parties, solutions that emerge will likely be partial, distorted, and short-lived. The cases span a broad spectrum, including issues of poverty reduction, criminal gang reduction, environmental reparation, economic development for First Nations, building age-friendly communities, and co-management of fisheries.

Je voudrais être un Brownie

by Marsha Casper Cook

Chippy n’est pas heureux comme il est et veut devenir un brownie. Avec l’aide de sa maîtresse, Mme Chipster, il réalise qu’il peut être heureux comme il est, s’il croit en lui. Les enfants ne se contenteront pas de comprendre ce qui est arrivé à Chippy, ils seront heureux de voir que le triste Chippy devient heureux d’être lui-même. Il s’agit d’un livre d’histoires réconfortant pour les jeunes lecteurs, à lire à haute voix à la maison et à raconter à l’heure du coucher. L’estime de soi est très importante, quel que soit l’âge, et les enfants apprendront sans avoir l’impression qu’il s’agit d’un message. C’est un excellent livre que les grands-parents peuvent avoir sur leur étagère pour passer du temps ensemble. Si vous achetez également le livre audio, les enfants adoreront entendre les mots pendant qu’ils lisent. Faites savoir à l’auteure si vous souhaitez obtenir un plan de cours gratuit.

Baiser ardent: Une romance paranormale (Le feu du dragon #1)

by Deborah Cooke

Pendant des millénaires, les guerriers dragons métamorphes connus sous le nom de Pyr ont vécu en paix en tant que gardiens des quatre éléments et des trésors de la terre. Mais aujourd'hui, l'heure des comptes a sonné entre les Pyrs, qui comptent les humains parmi les trésors de la terre, et les Tueurs, qui veulent éradiquer les humains et les Pyrs qui les protègent... Un baiser peut changer le cours du destin... Lorsque la comptable hors pair Sara Keegan décide de s'installer et de diriger la librairie New Age de sa tante excentrique, elle ne cherche pas l'aventure. Elle ne croit pas au destin ni à la magie des cartes de tarot, mais lorsqu'elle est sauvée d'une attaque brutale par un homme qui a la capacité de se transformer en dragon cracheur de feu, elle se demande si elle ne perd pas la tête - ou si elle n'est pas sur le point de perdre son cœur. Quinn Tyrrell, un loup solitaire, s'est longtemps méfié de ses compagnons Pyr. Lorsqu'il ressent la tempête de feu qui annonce sa future compagne, il est déterminé à protéger et à s'approprier Sara, quel qu'en soit le prix. Mais quand la véritable destinée de Sara est révélée, Quinn comprend qu'il doit tout risquer - même l'amour de Sara - pour accomplir leurs destins qui s’entrecroisent. « Cooke, alias Claire Delacroix, plonge dans le monde du paranormal avec sa nouvelle série Dragonfire. L'intrigue efficace fait avancer l'histoire à un rythme soutenu et ouvre la voie à d'autres batailles passionnantes à venir. »-Romantic Times « Les fans de paranormal ayant un faible pour les dragons métamorphes apprécieront certainement Baiser ardent, une histoire débordant de héros sexy, d'antagonistes prêts à semer le chaos, la mort et la domination du monde, d'anciennes prophéties et d'une histoire d'amour captivante... Une mythologie intrigante et plusieurs fils conducteurs sans réponse ouvrent la voie à de no

Les Insubordonnés et les insurgés: Des exemples canadiens de mutinerie et de désobéissance, de 1920 à nos jours

by Howard Coombs

Le leadership militaire possède deux dimensions : une dimension officielle et une dimension non officielle. Dans toute organisation, le leadership officiel doit sans cesse veiller à limiter l'écart entre les buts institutionnels et les actes des leaders non officiels. Si l'écart se creuse, on assiste parfois à une MUTINERIE! L'insubordination et la non conformité constituent une forme de dialogue entre les militaires et leurs leaders. Le présent recueil ouvre une fenêtre sur la mutinerie dans les forces armées canadiennes au vingtieme siècle, dans l'espoir d'offrir des lecons pertinentes pour le présent.

Shadow Bloodlines (Shadow Bloodlines Ser. #Vol. 1)

by A. R. Cooper

La Description Je ne savais pas que j’étais un Métamorphe avant que les chasseurs ne se rendent à mon école… Quand Beth, âgée de dix-huit ans, reçoit un message mystérieux de son père disparu lui interdisant d'aller à l'école, pourquoi devrait-elle l'écouter maintenant? Mais lorsque des inconnus se présentent dans l'une de ses classes pour la chercher et la vouloir morte, elle doit découvrir la vérité sur le pourquoi et ce qu'elle est exactement. Amar est enseveli dans la pierre depuis des siècles. Il aspire à la liberté et seul le sang d'un Métamorphe le libérera. Après des siècles figé dans une gargouille, il doute qu'il en reste beaucoup. Pourtant, Beth le sauve et plus que sa responsabilité de la protéger le remplit. Avant que la race de chasseurs ne la capture, Beth et Amar doivent trouver son père, afin de sauver toutes leurs vies.

Une Fée en Difficulté: Livre 1 Contes de Fées Modernes (Contes de Fées, contes populaires, Légendes & Mythologie #1)

by Andrea R. Cooper

Que peut faire une apprentie fée marraine quand Cendrillon refuse d'aller au bal ? Pourquoi, allez-y, à la place de Cendrillon bien sûr ! Mais tombée amoureuse du frère du prince n'a jamais été faite pour arriver. Bientôt, une série d’événements en mouvement qui auront un impact non seulement sur sa carrière, mais aussi sa vie entière. Le problème est qu'elle ne sait pas si le frère du prince ressent la même chose pour elle que pour lui. Et renoncer à ses ailes en espérant qu'il s'intéresse à elle en retour semble imprudent et insensé pour l'Esmeralda qui suit habituellement les règles. Pourtant, devenir humaine pourrait être la seule chance pour Esmeralda d'atteindre son propre bonheur.

La renaissance de Michael (Delta Restauration #2)

by Diana Copland

Sequel to Le réveil de DavidDelta Restauration: Novel Two Michael, hipster mignon et designer d’intérieur, ne fait plus dans l’amour, plus depuis que son ex l’a planté. Le sexe est une autre histoire, cependant, et le gentil géant qui fait les peintures dans le vieux manoir qu’ils restaurent pourrait être un parfait coup d’un soir. Gil est juste le type de Michael avec ses muscles solides, son sens de l’humour malicieux et ses yeux noisette qui semblent voir dans l’âme du jeune designer. Le problème, c’est que Gil adore la romance. Il veut l’amour pour toujours, et il vise Michael. Mais on n’y reprendra pas celui-ci. Pourtant, lorsque le jeune homme est la victime d’un vandale qui harcèle les hommes qui travaillent pour Delta Restauration, Rénovation et Design, Gil est la première personne vers qui il se tourne. Peu importe combien il se bat, il est de plus en plus difficile de nier qu’il est fou de cet homme, même si cette pensée se terrifie. Mais Michael prend véritablement peur lorsque le comportement criminel de leur harceleur s’intensifie, et qu’il se rend compte qu’il a peut-être perdu à jamais la chance de dire à Gil ce qu’il ressent.

Refine Search

Showing 701 through 725 of 3,448 results